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Par matt_matt le 31 Août 2016 à 18:23
Chapitre 2
Je m'appelle Gislaine, j'ai 83 ans et j'habite l'appartement 43B au 17 rue de Breuteuil, juste sous les toits. Mon appartement est grand clair et ordonné mais pourtant beaucoup trop vide, inanimé et triste d'après moi. Toute seule. Par conséquent, je passe mon temps à observer mes voisin par mes fenêtres. Encore et toujours seule. A mon âge je n'ai plus aucune visite. Je ne suis même pas sûre que mes voisins sachent que j'existe encore, et pourtant moi je sais presque tout d'eux : leur horaires de travail, les contenus de leur petit déjeuner et tant d'autres choses que j'observe tout les jours depuis cette fenêtre qui donne sur le jardin. Alors je me dis que, de toutes façons, je partirai bientôt. Toujours seule et écrasée par cet immense linceul d'oubli qui recouvre toute mon existence et me tombe dessus lentement sans que personne ne se doute de quoi que ce soit.
Chapitre 3
C'était il y a trente-sept ans exactement que Bertrand Guerin avait acheté ce petite appartement qu'était le 32C du 17 rue de Breuteuil. A l'époque il sortait d'une séparation, le divorce avec sa femme qui du jour au lendemain avait décidé de se barré avec leur facteur ... " A la saleté " ... C'est à ce moment là qu'il avait dégoté ce petit appartement un peu sombre du deuxième étage chez lui tout avait une légère odeur de vieux, d'ancien ainsi que de chien mouillé. En effet Bertrand vivait depuis toujours enfin aussi loin qu'il s'en rappelle ( c'est à dire assez peu ) avec sa chienne Sandy. Dès le départ celle-ci lui avait permis d'éviter les Blabla de ses voisine qui en avait peur et cela avait même fini par les terrorisées a cause de la concierge qui avait à l'époque fait courir la rumeur que deux de ses sept canari serait mort pour avoir regardé Sandy de trop près. Alors comme il avait envie de se venger des femmes il avait décider de perpétuer ses agissement en commençant à préparer ses coups, ainsi il leur en avait fait voir de toutes les couleur : Un jour il avait déposé à l'attention de la concierge maniaque du tri un passage de son livre préféré qui parlait d'un serial killer qui utilisais les poubelle pour se débarrassé de ses victimes, ou encore il s'amusait à faire goutter du produit désherbant dans les pots de sa voisine du dessous qui avait beau s'escrimer à chérir ses plante sans jamais réussir à les faire pousser. Bref, il n'aimait pas ses voisines et ses voisines ne l'aimait pas non plus .
La suite ?
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Par matt_matt le 30 Août 2016 à 19:06
Je me suis lancé dans l'écriture d'un romans en voici les premiers chapitres :
( ne vous formalisés pas sur mon orthographe ... )
Chapitre 1
Moi. Moi , c'est Juliette, j'ai sept ans et suis en CM1B . J'habite au 17 rue de Breuteuil, dans une jolie résidence . Celle-ci est composée de trois bâtiments du 20 eme siècle ( vous vous en douterez mais ) : le A, le B et le C. Le A et le B occupent la façade de la rue et le C se situe derrière juste devant un immense jardin dont les tonnelles croulent sous la vigne et la glycine, dont le potager communautaire et ses allés s'étend entre les arcade de thuyas et de roses grimpantes, en gros le parfait petit coins de paradis ou les mamies de la résidence passent leurs temps à siroter du thé et à papoter sur tout et plus encore ... C'est ce qui avait tout de suite plu a Maman . Tiens tant qu'on y est d'ailleurs, je vais vous en parler de ma Maman : Maman c'était une belle femme , généreuse agréable et très ouverte, elle était infirmière ( " Le plus beau métier du monde " qu'elle disait ), elle était belle ma maman, brune avec de beau yeux verts qui pétillaient la plupart du temps ( sauf certains soir où elle rentrait épuisé par son travail si généreux mais si éprouvant ), mais avec son mari aimant qui l'attendait tout les soir à la maison la vie n'était pas si difficile finalement. Son mari c'était mon Papa . Mon Papa lui il était attentionné, sensible ( peut-être un peu trop même ) et doux. Son passe-temps favoris était me faire des chatouilles et me faire des bisous qui piquent sur les joues à cause de sa barbe. C'était mon bon gros géant à moi, il me prenait dans ses bras et sur son dos et sur ses épaules. Il était horticulteur . Nous avions un vie calme dans notre appartement, le 21A, un existence tranquille et routinière. Et puis un jour Maman est tombé gravement malade et au bout de quelque mois Papa , épuisé de s'occuper de Maman, à fait voler leur relation en morceau et est parti du jour au lendemain . Laissant derrière lui moi pauvre petite fille et Maman, malade et détruite . Il est parti . Pour de bon.
Vous me direz si vous voulez les autres chapitres qui sont déjà écrits ...
2 commentaires -
Par matt_matt le 28 Août 2015 à 13:11
Hello,
un petit poeme pour tout ceux qui ont du mal avec l'orthographe et le français :
jeu d'aicriturre
je suis, tu es, il est
Ah que c'est dur le francais
Qui à bien pu inventée
une langue ossi compliquée
c'est, ses, ces
moi tout ce que je sais
c'est que ces mot fallait
tant les diversifier
il, elle, on
pourquoi tent de proposition
et toutes ses conjuguaison
pourquoua faire ossi long ?
vers, rimes et paragraphes
pourquoi compliquer ainsi l'orthografe
en poesie,
au moins, on lèsse libre cours a ces envies
ce à quoi ma maitresse répondit:
"l'orthographe c'est compliqué,
mais vous feriez mieux de réviser;
sinon votre moyenne s'en trouvera rétrécie"
9 commentaires -
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Par matt_matt le 13 Juin 2015 à 14:35
Il y a des fois
ou l’on a plus envie de ça.
Des fois ou l’on n’est pas vraiment la
et on se dit que c’est comme çaQuand on se sent bête et qu’on s’embête
a s’en faire mal à la tête
Quand on a plus le gout de la fête
quand on craque et qu’on arrêteQuand on est suicidaire
qu’on a envie de se jeter d’une embarcadère
mourir noyer la tête la première
quand la bouche nous laisse un gout amerQuand on est triste parce qu’on a perdu un être cher
quand on n’a pas passer ses vacances a la mer
quand on se dispute avec sa mère
et qu’on fini par pleurer par terreQuand il a plut
qu’on en peut plus
quand on sait plus
quand on est perduQuand on a l’cafard
qu’on en a marre
quand on n’a plus d’honneur
et qu’on voit plus l’bonheurHeureusement
de temps en temps
y a des lendemains
ou l’on se souvient de rien
des lendemains
ou tout va bienou l’on a oublié
tout ce qui a put s’passer
Que le cafard c’est en-aller
Et qu’à l’interieur y a plus rien d’endommagervoila
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trois nouveaux aussi long :
La rentrée
Tout les enfants dans le monde
redoute cette petite seconde
cette seconde ou la cloche va sonner
ce moment où les cour vont commencer
Au début, on ne veut pas pas y aller
on finit par y retrouver les copains
se disant qu'on va s'amuser
au moins, jusqu'au lendemain
Mais au bout d'un quart d'heure,
on commence a avoir peur
car il faut, les classes, regagnée
pour, des connaissances, amassé
On ne pense plus à rien,
sauf a la récréé
où on sera à nouveau bien,
Maitre de nous et aptes à espéré.
Pluie,Pluie
Pluie
Pluie qui goutte
sur les parapluies
sur la toiture,
sur les voiture.
Pluie
Pluie
Douce mélodie
multipliée a l'infinie.
Tant de chutes
sur toutes bosse, toute butte
Pluie
Pluie
Pluie qui abreuve
les champ et tout ici.
Ca fait sortir les escargots
tout, tout, toute cette eau
Pluie
Pluie
Toi qui transforme les paysages
qui modifie toutes les images
qui arrose tout sur ton passage
le long de ton voyage
Pluie
Souvenirs
Toutes ces image,
tous ces paysages
qui disparaissent peu à peu
par la pluie, par le vent et par le feu
Chaque larme qui coule
sur ce cadre brisé
sur cette photo usée
Le monde s'écroule.
Chacun de ses moments
que l'on pensait pourtant
graver, là, dedans
s'effacent au fil du temps
Aujourd'hui on attend,
on a plus le temps
de penser a nos enfants,
a nous enfants ...
Comme personnes s'en sert
Alors tous ce perd
de toutes façons, on est trop occupé
pour, pouvoir s'en charger
et tristement,
on oublie lentement ...
Voila tout ça c'est plutôt triste mais voila