• Poésie d'archive

    Retrouvez ici tout les anciens poèmes publiés par les poètes et les poétesses de ce blog 

  • Un nouveau poème sans beaucoup de sens. Vous trouverez ce que vous voulez dedans. Écrit sur un coup de tristesse et de colère parce que j'en avais ras-le-bol.

     

    Il pleut dans mon cœur,

    Il vente dans ta tombe,

     

    Il neige en mon cœur,

    Il vente en ta tombe,

     

    Il y a de l'orage dans l'air.

    Indélébile, tu restes ici,

    Et moi, je pleure.

     

    La larme coule sur le papier

    Larme d'espoir pour me rappeler

    À l'ordre.

     

    " Tout est éphémère ",

    " Le réconfort n'existe pas "

    " Ta peur ne s'effacera jamais "

    " Tes larmes couleront toujours "

     

    Toutes ces phrases qu'on dit pour détruire

    Les gens, les museler,

    Leur interdire la différence.

     

    Et même quand c'est pour protéger

     

    " Regarde-toi, bon sang !"

    " Montre au monde que tu es fière "

     

    Les fichues phrases de tes parents,

    Qui n'ont pas pensé que tu n'étais pas fière,

    Juste en rage et différente.

     

    Et même si ça n'a aucun sens,

    Et même si ça sert à rien

     

    Je déteste l'air glacé qui me pénètre à ces moments,

    Et je hais le monde, dans ces instant

     

    Préjugés, stéréotypes, idées reçues et refus de la différence

    Pourquoi montrer au monde qu'on est fier

    Si on étouffe à l'intérieur ?

     

    Oui, j'étais vraiment en colère et très pessimiste à cet instant...

     

    ©Nienor


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  • Petit poème, écrit il y a maintenant six mois, je pense.

     

    Vivre de ton sourire

     

    Avoir l'impression

    De ne vivre que par moments

    De n'exister qu'à certains instants

    Vivre d'un moment de passion

    S'en souvenir toute sa vie

    Pour qu'il illumine les moments de tristesse

    Et de mélancolie.

    Vivre de ton sourire,

    Ou d'un unique moment de plaisir.

     

    Des avis ?

     


    4 commentaires
  • Bonjour... Voici un poème écrit sur un coup de tête.
    Le voici :

    FUGUE

    Entends-tu en toi hurler la cascade ?
    C’est la longue histoire d’une cavalcade
    Sens-tu battre dans ton cœur ton destin ?
    C’est la longue histoire d’une fugue sans fin

    Je n’ai pu plus longtemps restée enchaînée
    Au sommet de la falaise sur laquelle je criais
    Celle de la détresse qui liait mes poignets
    Secouée des embruns de la mer déchaînée

    J’ai couru tout le jour, et la nuit arrivant
    Je n’ai pu me résoudre à abandonner ce pourquoi
    Je cherchais dans le noir en tâtonnant
    Une sortie au labyrinthe des émois

    Je cherche en moi
    Ce qui n’est plus là

    J’ai trouvé un autre moyen de franchir
    Les torrents et les flux de souvenirs
    Chevauché jusqu’à perdre haleine
    Dans les forêts, dans les bois et dans les plaines

    A l’aube naissante j’ai franchi
    Main dans la main avec ma solitude
    Les frontières de l’inconnu indécis
    Monter, monter en altitude

    Je cherche en moi
    Ce qui n’est plus là

    Alors j’ai été emportée dans le typhon
    De la mort, de la vie et de l’irraison
    Simple façon de remettre les pieds sur terre
    Simple façon de descendre aux enfers

    Dans les ténèbres infinis j’ai trouvé l’issue
    La lumière, et un monde moins déchu
    Le voyage d’une vie et d’un cœur brisé
    Vient par ces mots de s’achever

    Entends-tu en toi hurler la cascade ?
    C’est la longue histoire d’une cavalcade
    Sens-tu battre dans ton cœur ton destin ?
    C’est la longue histoire d’une fugue sans fin


    3 commentaires
  • Que le temps passe vite,

    Hier il venait de naître,

    Aujourd'hui, il est déjà grand,

    Ça fais tellement longtemps que je ne l'ai pas vu,

    Il me manque un peu, j'aimerais bien le revoir,

    Pour pouvoir le voir grandir de jours en jours ...

    Je retournerais le voir, bientôt.

    Je ne veux pas qu'il soit trop grand, 

    Que je puisse encore le porter et que je le reconnaisse encore.

    Qu'il apprenne mon prénom et que lui aussi me reconnaisse.

    Qu'il reconnaisse sa marraine de coeur,

    Moi. 

     

    Pour mon filleul adoré ♥


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  • Poème écrit en cours de latin...

    Version papier :
    Epitaphe

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Version ordi :

    EPITAPHE

    Elle marche, elle avance
    Tête baissée, en silence
    Vers une stèle illuminée
    Vers la fin de sa destinée

    Elle pose une main sur la pierre
    Elle ferme les yeux, fait sa prière
    Et alors comme une fleur qui se fâne
    De ses paupières s'échappe une larme

    C'est son dernier discours
    C'est son seul recours

    Et alors elle trace
    Dans le vent, dans la mer
    Elle écrit une épitaphe
    Dans le temps, dans le mystère


    3 commentaires
  • Vu que peu de personnes me connaissent ici (enfin, Harmonie et Sofia si, PGDE un peu et matt_matt et Cerise qui m'ont vaguement aperçue ici et là) je vais me présenter un peu!

    Alors, pour une éventuelle question, je ne m'appelle pas najea, c'est seulement un diminutif de mes deux prénoms. (lesquels? Ahah très bonne question! (pathétique je sais mais j'ai bien le droit de m'amuser un petit peu)) Bon, allez, je vous laisse deviner (un indice: mes initiales sont A.J).

    Voilà, à part ça je suis Jbnaute, PAnaute, PEnaute, LDOnaute, et FFE... (et aussi complètement cinglée (c'est bon, ange-autre-partie-de-moi-même c'était pas la peine d'en rajouter (c'est TOI l'autre partie de moi même (BREF. Tais toi, tout le monde s'en f*** de ton avis (merci, très aimable de ta part (tu connais ma gentillesse légendaire....))))))

    J'ai douze ans, je serai bientôt en 5ème. J'aime lire, écrire des textes ou des poèmes, dessiner, le vent, rêver. 

    Voilà. Vous apprendrez le reste au fil du temps!

     


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