• La rubrique de Mushotoku

    Hell.ow tout le monde !

    -non, c'est pas logique, je suis toute seule chez moi et toi derrière ton écran t'es sûrement tout seul aussi-

    Salut toi !

    -Bof, non, trop social pour l'asociale que je suis, puis tu pourrais le prendre mal, on se connait pas après tout, c'est pas super poli,...-

    Bonjour à vous !

    -Arf, non, trop tradi', puis ça fais un peu froid le vouvoiement, non ?-

    Bonjour !

    -Nein, trop simple, et puis si ça se trouve, pour moi là c'est la journée mais pour toi c'est le soir x_x-

    Hey !

    -Ah voila, c'est ça,  on va s'arrêter là, hey, c'est bien. Hey, c'est court, c'est simple, c'est précis, c'est parfait.-

     

    Je me présente, je me surnomme The Cookie (même si je songe à changer de pseudo, mais c'est que je me suis attachée  à celui-là alors, alors, je ne sais pas mon dieu quel dilemme \O/ enfin, en attendant, appelez moi Cookie), j'ai 16 ans, j'écris des babioles et je suis ici pour vous en faire partager quelques unes !

    Comme j'ai déjà un blog où je poste la plupart de mes créations, et que j'ai l'intention d'entreprendre un grand projet de rénovation de vieux poèmes, j'ai pensé commencer par vous les  montrer ! J'espère que ça vous plaira :3 (Yep, je vous donne l'exclusivité de mes vieux souvenirs, ça rigole pas ici u_u).

     

    P.S. : Non, je ne sais jamais quand utiliser le vouvoiement ou le tutoiement alors, ou, je change tout le temps, je m'excuse d'avance pour ceux que ça perturbe >w<

  • Ce poème est le tout premier que j'ai écrit, même si la version qui suit à été retravaillée. Un jour, j'ai été amenée à le lire devant un petite assemblée (une des choses les plus angoissantes que j'ai pu faire dans ma vie) et je dois admettre qu'il a semblé leur plaire, seulement, pour tout un tas de raisons, je ne suis pas sûre qu'ils aient étés très objectifs. Comme je n'en suis plus très fan moi-même, j'aimerais avoir votre avis, le plus franc possible, afin d'en écrire, peut-être, une troisième version car je l'ai trop lu et le connait trop bien pour réussir à cibler ce qui me pose problème ^^'

     

    Qu'elle soit océan,

    Mer, fleuve

    Ou ruisseau

     

    L'eau toujours s'écoule...

     

    Rien n'y fait,

    Peinte, libre ou dessinée

    L'eau ne s'arrête jamais

     

    L'eau s'écoule toujours...

     

    Qu'elle se jette d'une montagne

    Ou qu'elle se repose paisiblement

    Au fin fond d'une vallée

     

    L'eau toujours s'écoule...

     

    Que l'on dise d'elle qu'elle est sale et polluée

    Ou que l'on vante son aspect cristallin,

    Son envoutante pureté

     

    L'eau s'écoule toujours...

     

    Que l'homme s'acharne à l'arrêter,

    De son chemin la fasse dévier

    Ou qu'il puise en elle pour survivre

     

    L'eau toujours s'écoule...

     

    Cette incontestable

    Et éternelle vérité

     Bien que cela puisse paraître futile, puéril

     

    L'eau s'écoule toujours...

     

    Quand mille obstacles m'empêchent d'avancer, de vivre ou d'exister

    Quand tout me semble noir, triste et dénué de sens

    Quand, assaillie par ces pensées sombres, je me sens tomber

     

    L'eau toujours s'écoule...

     

    Je pense simplement à cette continuité

    Cette belle et antique vérité

    Et petit à petit, les obstacles commencent à s'écarter

     

    L'eau s'écoule toujours...

     

    Me laissant apercevoir une lueur d'espoir

    Me redonnant le courage,

    La force d'avancer

     

    L'eau toujours s'écoule...

     

    Car depuis le commencement jusqu'à la fin des temps,

    Tout comme la vie,

    Tout comme le temps,

     

    L'eau s'écoule toujours...

     

     

     

     


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  •  

    Au coeur de la forêt, la  jeune fille rêvait.

    Au coeur de la forêt, la jeune fille tournoyait.

    Au coeur de la forêt, la jeune fille chantait.

    Au coeur de la forêt, la jeune fille s'effondrait.

     

    Oui, je cours, mais

    Les souvenirs de toi s'envolent,

    Je les vois s'éloigner, insolentes lucioles.

     

    Je te l'assure, je cours, mais

    De ta voix rauque n'entends que des murmures

    Qui s'en vont en lézardant les murs.

     

    Je te le jure, je cours, mais

    Ton regard ambré de whisky, s'enfuit,

    En me laissant seule derrière lui.

     

    Par tous les astres je cours, mais

    Ta présence, désagrégée, m'abandonne

    Pour des univers sans bornes.

     

    Sur l'univers, je cours, mais

    Ton image se voile d'ombres amères

    Et je ne sais où tu as caché la lumière.

     

    Oui, je cours, mais

    Ma vie, inévitablement, veut suivre la tienne,

    As tu seulement idée de sa peine ?

     

    Et oui, je perds mon espoir en courant,

    Pourtant, je ne veux pas faire d'erreurs,

    Mais tu le sais, je crève de peur,

    A l'idée de t'oublier.

     

    --------------------------------------------------------------------------------------------------

     

    Voila, premier poème, assez vieux (2014, publié en 2015) et pas mal remanié aussi !


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