• Chapitre 2 

    Je m'appelle Gislaine, j'ai 83 ans et j'habite l'appartement 43B au 17 rue de Breuteuil, juste sous les toits. Mon appartement est grand clair et ordonné mais pourtant beaucoup trop vide, inanimé et triste d'après moi. Toute seule. Par conséquent, je passe mon temps à observer mes voisin par mes fenêtres. Encore et toujours seule. A mon âge je n'ai plus aucune visite. Je ne suis même pas sûre que mes voisins sachent que j'existe encore, et pourtant moi je sais presque tout d'eux : leur horaires de travail, les contenus de leur petit déjeuner et tant d'autres choses que j'observe tout les jours depuis cette fenêtre qui donne sur le jardin. Alors je me dis que, de toutes façons, je partirai bientôt. Toujours seule et écrasée par cet immense linceul d'oubli qui recouvre toute mon existence et me tombe dessus lentement sans que personne ne se doute de quoi que ce soit. 

    Chapitre 3

    C'était il y a trente-sept ans exactement que Bertrand Guerin avait acheté ce petite appartement qu'était le 32C du 17 rue de Breuteuil. A l'époque il sortait d'une séparation, le divorce avec sa femme qui du jour au lendemain avait décidé de se barré avec leur facteur ... " A la saleté " ... C'est à ce moment là qu'il avait dégoté ce petit appartement un peu sombre du deuxième étage chez lui tout avait une légère odeur de vieux, d'ancien ainsi que de chien mouillé. En effet Bertrand vivait depuis toujours enfin aussi loin qu'il s'en rappelle ( c'est à dire assez peu ) avec sa chienne Sandy. Dès le départ celle-ci lui avait permis d'éviter les Blabla de ses voisine qui en avait peur et cela avait même fini par les terrorisées a cause de la concierge qui avait à l'époque fait courir la rumeur que deux de ses sept canari serait mort pour avoir regardé Sandy de trop près. Alors comme il avait envie de se venger des femmes il avait décider de perpétuer ses agissement en commençant à préparer ses coups,  ainsi il leur en avait fait voir de toutes les couleur : Un jour il avait déposé à l'attention de la concierge maniaque du tri un passage de son livre préféré qui parlait d'un serial killer qui utilisais les poubelle pour se débarrassé de ses victimes, ou encore il s'amusait à faire goutter du produit désherbant dans les pots de sa voisine du dessous qui avait beau s'escrimer à chérir ses plante sans jamais réussir à les faire pousser. Bref, il n'aimait pas ses voisines et ses voisines ne l'aimait pas non plus .

    La suite ?


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :