• New York

    Voilà un petit texte sur New York, une ville que j'aime beaucoup !! J'y ai mis mes sensation à la découverte des lieux et des habitants, alors j'espère que cela vous plaira !! ^^

     

     Je descends de l'avion et déjà je peux voir, reflétés de Building en Building, les rayon du soleil qui sombre. C'est Manhattan qui me lance des clins d'oeil.

     Je suis dans la ville.

    Les tours envahissent l'horizon des carrefours froids, droits, insensibles et géométriques. Je ne sais plus où tourner la tête… Mon regard se perd. Ici, un parc. Là, une tour, une pagode dans un coin et plus loin les théâtres aux esprits de comédies musicales. Les grands magasins. Les ponts s'étirent, défilent et dessous les bateaux rament et brassent l'eau. Ville produite de la coalescence des cultures, traditions, architectures et populations. Lieu de change et d'échange. Une multitude de gens, autant que de bâtiments : des blancs, des noirs, des effacés et des bruyants, des discrets, des timides et des présents. La foule. Des banquiers dont les ordinateurs suintent aux touristes dont les appareils photo transpirent. La grande dame verte et les halls de briques. Les traînées des bateaux et ici ou là, des oiseaux. Les trottoirs ne désemplissent pas. Les travailleurs qui ,sortis des bureaux, envahissent et affluent au rythme des voyants rouges et verts. 

    Et là, un choc, une pulsation, la ville qui vous aspire. Bringuebalé de passant en passant, tourbillon d'entrain et d'envies. Tentation. Un coup à droite, puis à gauche. Les gens qui courent . Mon coeur qui bondit, suit le rythme et entre dans la danse. Le jour, il suit les taxis. La nuit, les lumières. Je suis aspiré, poussé par le vent qui siffle sur les façades des grattes-ciel. Je ne dors plus, trop de vie autour de moi, trop de sons et de voyants. C'est la fièvre des métropoles qui me met mal.

    Mais, déjà il faut repartir, passer à autre chose, oublier, ou se souvenir, mais retourner à notre routine.


  • Commentaires

    1
    Dimanche 20 Août 2017 à 22:16

    Ce texte me fait énormément penser à cette musique : City Life de Steve Reich (américain !!), composée spécialement pour traduire en musique la vie trépidante et stressante de New York... Un peu comme ton texte en fait !

    Alors : Je descends de l'avion et déjà je peux voir, reflétés de Building en Building, les rayons du soleil qui sombre. C'est Manhattan qui me lance des clins d’œil.

    Je suis dans la ville.

    Les tours envahissent l'horizon des carrefours froids, droits, insensibles et géométriques. Je ne sais plus où tourner la tête… Mon regard se perd. Ici, un parc. Là, une tour. Une pagode dans un coin et plus loin les théâtres aux esprits de comédies musicales. Les grands magasins. Les ponts s'étirent, défilent et dessous les bateaux rament et brassent l'eau. Ville produite de la coalescence des cultures, traditions, architectures et populations. Lieu de change (??) et d'échange — je n'ai pas compris ce passage. Une multitude de gens, autant que de bâtiments : des blancs, des noirs, des effacés et des bruyants, des discrets, des timides et des présents. La foule. Des banquiers dont les ordinateurs suintent aux touristes dont les appareils photo transpirent. La grande dame verte et les halls de briques. Les traînées des bateaux et ici ou là, des oiseaux. Les trottoirs ne désemplissent pas. Les travailleurs qui, sortis des bureaux, envahissent et affluent au rythme des voyants rouges et verts. 

    Et là, un choc, une pulsation, la ville qui vous aspire. Bringuebalé de passant en passant, tourbillon d'entrain et d'envies. Tentation. Un coup à droite, puis à gauche. Les gens qui courent. Mon cœur qui bondit, suit le rythme et entre dans la danse. Le jour, il suit les taxis. La nuit, les lumières. Je suis aspiré, poussé par le vent qui siffle sur les façades des grattes-ciel. Je ne dors plus, trop de vie autour de moi, trop de sons et de voyants. C'est la fièvre des métropoles qui me met mal. — cette dernière phrase est un peu maladroite

    Mais (ponctuation non nécessaire) déjà il faut repartir, passer à autre chose, oublier (ponctuation non nécessaire) ou se souvenir, mais retourner à notre routine.

    ... Effectivement on y trouve quelques fautes d'orthographe. J'aime beaucoup la manière dont ton texte illustre une atmosphère, celle de New York, à la fois de façon réelle mais aussi poétique à la fois. Il y a 2 passages qui me sont un peu flous, tu as vu lesquels. Ah et le mot entrain au pluriel, il me semble qu'il n'existe pas ^^ On aurait dit que j'imite ma prof de français mais c'est pour te dire que ton texte m'a portée jusqu'au bout, malgré ces petits problèmes d'orthographe et de sens. J'ai également ajouté et enlevé de la ponctuation, à mon sens, mais très peu, pour conserver la fluidité de cet écrit joliment écrit ;)

    Après ne crois surtout pas que je juge, mais je veux simplement te dire mon avis ^^

    2
    Dimanche 20 Août 2017 à 22:29

    Merci beaucoup, je me suis permis d'appliquer les modification orthographique, et je vais préciser les points incompris :

    "Lieu de change" = Lieu où l'on peut convertir un montant d'une monnaie dans une autre monnaie. ( ici: en référence au quartier boursier et au touristes )

    "Qui me met mal " = structure du français soutenu, signifie : "qui fait tourner la tête", "qui rend malade", "qui étourdit".

    Et les deux dernière ponctuation non obligatoire sont volontaires ^^

    3
    Dimanche 20 Août 2017 à 22:42

    De rien c'est normal :)

    Maintenant je comprends mieux tout ce que ces passages veulent dire ; faut que je me cultive davantage en fait x)

    Ok je comprends ^^

    4
    Mercredi 30 Août 2017 à 16:49

    Magnifique texte digne d'un grand auteur français mon petit chat . 

    Continue comme ça

    5
    Jeudi 31 Août 2017 à 09:50

    Merci beaucoup ^^

    6
    Dimanche 3 Juin 2018 à 01:43

    J'aime vraiment beaucoup ce texte ! Franchement si je le voulais, je pourrais me lancer dans une analyse plus profonde de tes ordinateurs qui suintent et de tes appareils photos qui transpirent, ou de la manière dont la ville nous aspire et nous transporte dans sa cadence, mais tu ne m'en voudras pas, il est tard, je me contenterai de dire que c'est un beau texte, et que tu as de la chance de connaître New York ^^ (Mais ne pourrait-on pas faire la même chose, sur Paris ? Buildings exceptés, toutes les grandes villes se ressemblent d'une certaine manière...)

    "Une multitude de gens, autant que de bâtiments : des blancs, des noirs, des effacés et des bruyants, des discrets, des timides et des présents" -> J'aime beaucoup cette phrase !

    La seule phrase qui me dérange un peu, dans ce texte, c'est "La grande dame verte". C'est un peu maladroit selon moi, tu pourrais peut-être qualifier le vert, ou l'appeler autrement que "grande dame"...

    En tout cas tu écris super bien, je te le redis ^^

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