• Voici le poème que j'avais initialement composé pour le concoursde Le Borgne sans me plier au règles imposée ... 

    (Je sais j'avais dit que je le publiais hier mais finalement ça sera aujourd'hui)

     

     

    Leur souvenir s'est éteint avec le bruit qu'ils ont fait...

    Déjà on s'en va les jetter dans une fosse, 

    Au sein mutiilé des quatres murs nus

    Du grand blockhaus démantelé.

     

    Charniers de la peste, air de la mer,

    tortures que l'on teste et Brasiers de sorcière,

    Baïonnette, feu et alcootest, en mémoires ameres,

    corps qui manifestent d'antiques idéaux imaginaires,

    le dessin d'enfant en arabesque dans le sable de la plage primaire,

    Le sang qui coule dans ces sillons funestes et les cadavres ordinaires,

    Regrets de ceux qui n'ont pas fait de geste, amalgames millénaire,

    Démembrés, il regarde les complexes, les vacances, les enfants, les femmes, les pères

    qu'ils nont jamais pu ni avoir ni être.

     

    Ils sont là, fantomatique reste d'une réfléxion latente,

    Dechets putréfiés d'une puissance décadente, 

    Ils sont ceux qui n'ont parfois jamais rien demandé, 

    et ceux qui, par contre, voulait y aller,

    il sont ceux à qui on a pas laisser le choix, 

    et ceux qui n'ont pas pu deserter

    ils sont restés là, eparpillé, détruit dans le jeu des parques,

    sombre côté des placards de deux trois ou quatre pays au desespoir,

    Fantome soluble d'une humanité qui s'explose....

     

    Sacrifié bon gré mal gré sur l'autel de la victoire et ses lauriers,

    brisés pendant les fragiles nuit de cristal auquel ont les a fait participer.

    Déchirés entre convictions, pouvoir et soumissions,

    ils chargent tous ensemble et détruisent leur amis à l'unisson,

    Vaut-il mieux esquiver la hâche qui nous menace 

    ou les conséquences de ces folies néfastes ?

    Alors oui, ils écoutent le champ du monde affaibli,

    ils tombent et posent leur genoux au sol dans un dernier soupir,

    ils voient la terre souillée qui sert de sol à la Grande Arène rougie.

    Puis quand après la violence, reviennent paix et conscience,

    Ils constatent les pleurs, les monstres qui reste inscrits dans l'absence,

    les nez qui coulent et les larmes qui rejoignent la mer.

     

    Ils furent le prix de la renaissance glorieuse des idéologies qui se repètent,

    Ils voudraient pouvoir faire quelque chose de leur transparence indigeste

    soutenirs les blessés par-ci par-là, temoigner de l'horreur vécu entre partenaire de danse,

    Ils carressent leur familles constellé de trou, des limbes de leur nuages toxique de Zyklon B

    ou ammenent leur lot de famines nucléaire, ils n'existent plus que sur les photo ternie,

    ils pleurent les ambition d'un parti, les volontaires expansionniste et les industries d'obus nationalisées

     

    Il voudraient dire ce qu'ils doivent penser,

    venger tout ceux qui sont resté,

    de ceux qui ne devraient plus pouvoir manger.

    Ils sont les copeaux de planche qui se délitent 

    de l'arbre découronné qui voit mourir ses branches ! 

    Ils ont vu le monde s'effondrer puis se relever, 

    ils ont vu tout ceux qui sont tombés, ceux qu'on a injustement tué,

    Tous ceux qui ont été condamnés sans pouvoir être juger,

    ils ont vu ceux qui n'ont pas eu la bonne issue à leur procés,

    ceux qu'on a fait valser pour n'importe quelle convenance

    entre les coup des baionettes mal avisées.

    Ils ont vu tout ceux que les guerres n'ont pas épargnés,

    car ils sont eux même là, perdu ou disparu,

    mais composent le ciment rosi que le temps utilise,

    ils sont les sédiments épris sur lesquels la civilisation rebati;

    car ils avaient déjà l'arme blanche au poing

    pour défendre tout ceux qu'ils ont aimés;

    car ils étaient là, morts au combat qu'on mettra sur leur tombe,

    car ils étaient là, eux, tristes soldats qui n'ont pas su oublier le monde.

     

    Voilà, comment initialement je l'avais pensé.


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