• Bonjour à tous.
    Pour le poème qui va suivre, j'aimerai, non, je voudrai que vous preniez le temps de le lire et de le commenter. C'est très important, je vous explique pourquoi.
    D'abord, cet assez long poème m'a prit la moitié du temps qu'il me faut pour en écrire un plus court. Une vague m'a happé, vague de détresse et d'espoir, vague d'inspiration. Je me suis laissée ensorcelée, envoûtée. Contrairement à ce qu'on peut croire, ce poème n'est ni ciselé ni travaillé.
    Ensuite parce que j'ai enfin atteint ce que je cherchais. Ce poème est mon préféré de tout ceux que j'ai écrit, j'ai ressenti une sorte d'accomplissement en l'écrivant.
    A vous de le lire et de le commenter. Je le répète, je tiens à avoir vos avis.

    TANT QUE NOUS SOMMES HUMAINS

    Est-ce ce cri des âmes
    Est-ce cet appel aux armes
    Est-ce la mort que la nuit enivre
    Ou le simple fait de vivre ?

    Est-ce la douleur des guerres
    Est-ce les larmes amères
    Est-ce les enfants tués, exploités
    Ou le simple fait d'exister ?

    Si les humains s'appellent ainsi
    C'est qu'ils ont un cœur et des oreilles, à ce qu'on dit
    Un cœur pour aimer, des oreilles pour écouter
    Quand cesseront-ils de faire semblant d'en posséder ?

    Tant que nous sommes humains,
    En quelque sorte
    Que ce soit en mal ou en bien
    Peu importe.

    Est-ce les forêts défrichées
    Est-ce les animaux massacrés
    Est-ce les montagnes rasées
    Ou le simple fait de respirer ?

    Est-ce la Terre polluée
    Est-ce la Terre réchauffée
    Est-ce la Terre dégradée
    Ou le simple fait d'étouffer ?

    Si les humains s'appellent ainsi,
    C'est qu'ils ont de l'humanité et du courage, à ce qu'on dit
    De l'humanité pour regretter, du courage pour recréer
    Quand cesseront-ils de faire semblant d'en posséder ?

    Tant que nous sommes humains,
    Faisons ce qu'ils nous plaît
    Quant à un lendemain
    Aux autres d'espérer


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  • Il y a toujours un commencement,

    Quand le crayon touche le papier pour la première fois

    Cette vibration dans l'air

    Ce silence continu

    Il était ainsi ton premier blog.

    Petit insignifiant

    Mais aussi drôle et agréable

    Ou j'étais ton maître toi mon élève.

    Mais du jour au lendemain

    Tu as pris ton envol.

    Tu es parti voir d'autre horizon

    Sans oublier d'effacer ce qui est derrière toi.

    Tu as pris un nouveau départ

    Tu as créer de nouvelles choses

    Et tes ancien souvenirs ont disparu.

    C'est ainsi que tu me remercie ?

    Moi qui t'ait montré et appris ?

    Puisqu'il en est ainsi

    Je te laisse déployer tes ailes,

    Et arrête de me mêler à ta vie future.

     

    Traduction : Matt-matt maintenant tu te débrouille seul pisque t'as plus besoin de moi. Gère ton blog seul na !


    20 commentaires
  • Les cartables sont jetés,

    les cahiers déchirés,

    les tongs enfiler,

    l'été commence enfin, 

    sous cet chaleur irrespirable,

    mais aujourd'hui, 

    le temps est clément,

    on sort à nouveau,

    même si le temps n'est pas si beau !

     


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