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Tout les matins,
à la même heure,
je le voyais arriver sous cet arbre
dans le champs à côté de chez moi,
une guitare au dos et un cahier à la main.
Il restait jusqu'à midi,
puis il repartait.
Je le trouvait beau, et j'était sur qu'il était sympa.
Un jour, alors que je l'espionnait comme d'habitude,
je décida de prendre mon courage à deux mains et d'aller lui parler.
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Commentaires
parce que je n'ai pas fini ! enfin .... je ne sais pas si je continue ou pas, t'en pas quoi ? pt que je vais publier le début et plus tard la suite !
je prefere comme ca, ca feras moins gnangnan que si tu faisais "et ils vécurent heureux et pouetpouet".
La les lecteurs peuvent deviner leurs version :)
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pourquoi cest hors ligne ?